Si … m’était contée.. ;

 

De ces mots qui résonnent aux tonalités parfois douces, parfois cinglantes, déroutantes mais toujours empreintes de ces vérités qui dérangent ou pas… traversant les décennies et cependant tellement d’actualité !

 

N’avez-vous jamais utilisé des expressions venues, transmises d’un proche, ou entendues par-ci, par là?

 

De ces expressions ressorties le moment venu, comme pour marteler, asseoir un avis, une idée, une pensée….

 

Ce n’est pas à un vieux singe que l’on apprend à faire des grimaces !

 

Qui ne l’a entendue celle-ci ? Vous avez bien compris que ce qui va suivre est dans la lignée du « Basilique » !

 

Certains, (nes) pourraient dire… ha « Le Passeur des Ames », le retour ?

 

Cela fait suite essentiellement à des mots dits, des maux non-dits depuis trop longtemps !

 

Et, à ma manière, et pour faire suite à une conversation sur les citations de nos anciens, je viens donc déposer ces vérités, Mes vérités, sur « ces gens-là, cette « humanité » (ironie bien sûr) bien pensante……… bref…

 

Si,

 

Ce que l’on ne fait pas, le temps le fait !

 

Et l’on pourrait s’en réjouir si l’on croit en la justice, … bien évidemment !

 

 

 

Un endormeur de mulots ! 

 

On peut également parler d'un «endormeur de couleuvres». Que comprendre ? Il faut d'abord imaginer un «homme fin et adroit» dont la principale caractéristique est d'être malin. Ce «baratineur» rusé est un expert lorsqu'il s'agit d'«aplanir les monts», c'est-à-dire «beaucoup promettre et ne rien tenir», écrit l'auteure. Ainsi que nous le lisons dans le Littré, cet individu intéressé «amuse les gens de belles espérances, sans effet». Mais alors, pourquoi le «mulot» ? Il peut, selon Catherine Guennec, «être pris dans le sens de marmotte, une gentille petite bête facile à endormir».

 

Ou un Basilique, après tout, osons… (sourire) quelle meilleure façon que de « suggérer », n’est-il pas ?

 

Alors bien sûr, comme tout un chacun, (ne), les seules phrases que l’on se dit, encore et encore, en ces circonstances……..  

 

- « Si j’avais su, j’aurais dû ... », mais mes priorités étaient ailleurs… Pourquoi ? Comment ? ..  tant de questions sans réponses … enfin, réponses que l’on se refuse d’admettre...surtout  ! Alors les combats, ces, mes combats, sur tous les fronts m’ont épuisé….. 

 

Mais l’écriture est une façon de dire les choses, permet d’être… laconique, …où l’ ironie, la dérision, l’humour sont mes « moteurs » et comprenne qui voudra ou … qui pourra.. (sourire...) 

 

On se met en garde en se disant : 

 

fin que tu sois, tiens-toi pour affiné.
Origine : Proverbe de Pierre Corneille (1606-1684), La place royale (1635). 

 

Et un sursaut de « conscience » vous fait dire … 

 

La vérité est la lumière de l'esprit. 
Marie-Thérèse Rodet Geoffrin ; Les maximes et pensées (1699-1777) 

 

Cela console-t-il ? Certes non … (sourire) car...

 

 Il en est des abus comme des fripons qui souvent trouvent plus d'appuis que les honnêtes gens. 
 Joseph Sanial-Dubay ; (1813)  

 

Bref… l’ange est passé… sourire… 

 

Ne dit-on pas que 

 

L'homme de bien chérit la vertu, l'homme de peu, les biens matériels. L'homme de bien porte en lui le sens de la loi, l'homme de peu ne pense qu'aux privilèges. 

 

Confucius

 

et si ce fut « la toile de Pénélope », qui inlassablement dans l’attente, se remettait à l’ouvrage,

 

quant à moi, chaque jour, je m’épuisais dans une quête de l’impossible !

 

ÉCLAIRER LA LANTERNE ?

 

En quelque sorte ! (sourire) je vais essayer, car jeu il y a, de l’esprit, de cet humour qui m’est cher..

 

Je pourrais commencer ou plutôt continuer par...

 

NI CHAIR NI POISSON….  

 

Ou bien encore…. 

 

La plus grande couardise consiste à éprouver sa puissance sur la faiblesse d'autrui. 

 

Le Mal court (1947) de Jacques Audiberti

 

puis sans défaillir assurer que

 

(Mais) je hais les cafards et la race hypocrite - Des tartuffes de moeurs, comédiens insolents, - Qui mettent leurs vertus en mettant leurs gants blancs.

 

Premières Poésies (1838) de Alfred de Musset

 

et de ces maux … invisibles………………….

 

À l'abus de la force a succédé l'abus de la faiblesse. 
Citation de Alphonse Karr ; Une heure trop tard (1833) 

 

Alors croire en un demain qui chantera... sous la grêle ?

 

 Qui fuit la pluie rencontre souvent la grêle. 
Proverbe turc 

 

Car n’est malentendant que celui qui le veut ou alors, il est permis de penser que

 

..  BOUCHÉ À L’ÉMERI

 

Car force suggestion me fut faite par moult comportement que

 

LA LANGUE DE BOIS fut de mise !

 

Quel dommage ne trouvez-vous pas ? Liberté nous est donnée de … penser ? De … dire ? (sourire)

 

 Être à la fois sot, fat et bête, c'est trop pour un seul homme qui n'est pas dépourvu d'intelligence ! Mais qu'est-ce qui lui manque donc ? La connaissance de sa niaiserie ! Ce qui l'étouffe c'est la pléthore de sa suffisance. Avec un amour-propre moins bouffi et moins bruyant, il serait moins naïf et moins ridicule. Tel qu'il est, il est fastidieux comme un bourdon et comme un hanneton, et plus il est fait les honneurs de lui-même moins on lui en sait gré. 
Citation de Henri-Frédéric Amiel ; Journal intime, le 20 juin 1868.

 

L’âme noire… d’où l’expression être……… 

 

LAID COMME LES SEPT PÉCHÉS CAPITAUX. ? 

 

Mais ne vous y fiez pas, fol qui s’y fie que ...

 

A vaincre sans péril, l’on triomphe sans gloire 

 

je suis ...

 

Aller à Canossa  Bismarck en 1872

 

J’ai, tel le Passeur, traversé l’Achéron . ………..

 

Je reviens des « enfers », Ben en fait, j’avais oublié mes deux pièces d’or… (sourire)

 

AVOIR DU COEUR AU VENTRe 

 

L’on m’a prêté cette qualité, dans son sens le plus … noble, après tout n’est pas « Milady » qui veut… (rire...)

 

Je terminerai en rendant hommage, à ceux, celles qui m’ont permis de tisser ce lien précieux, rare qu’est l’amitié !

 

Je les remercie de leur présence, de leur soutien, de leur ecoute

 

 L'amitié est l'attachement de l'âme pour l'âme, fondé sur les qualités de l'esprit et du cœur. 
Citation de Édouard Alletz ; Les harmonies de l'intelligence humaine (1846) 

 

Bien sûr toute ressemblance avec des faits ou personne(s) n’est absolument pas fortuite, comme j’aime à le dire… (sourire)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Juin 2007!

 

Déjà, alors, le sujet m'interpellait!

 

Cette sensation de n'être rien d'autre qu'un "écran"!

 

Cette sensation ressentie que ces "gens" avec lesquels je communiquais,

 

ne voyaient rien d'autre que la possibilité de nuire, détruire, mentir,

 

bien à l'abri derrière ce que j'appelais "le bouclier".

 

Mon bouclier, le mien, était mon sourire!

 

Sourire, bouclier de mes émotions; disais-je souvent!

 

Ne pas donner prise, encore et toujours,

 

Face au "mâle", à la vie, son passé, ses souffrances,

 

Mais facile à dire, à écrire,

 

Tellement plus difficile à mettre en pratique…

 

L'on ne change pas ainsi sa nature profonde!