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    Le couvre feu ...

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    Je ne puis m'empêcher de sourire, en écrivant ce post.

     

    Certaines comprendront peut-être, ce qu'il veut dire ...

    peut-être même certains, qui sait ?

     

     

    Qu'est-ce qu'un "couvre-feu" ?

    Selon un dictionnaire :

     

     

    couvre-feu: nom masculin

    Pluriel: couvre-feux.

    Sens : Interdiction de sortir de chez soi après une certaine heure (surtout en temps de guerre). Anglais curfew

     

     

    "Autrefois, une cloche sonnait le soir pour signaler à la population qu'il fallait recouvrir les feux d'un couvercle de fonte pour éviter les incendies."

     

    L'origine du terme "couvre-feu"

    S'il s'agissait au départ d'un ustensile dont on se servait pour couvrir le feu et le conserver, le terme prend rapidement un sens figuré : on parle alors de "sonner le couvre-feu". Une cloche signalait le couvre-feu à la tombée de la nuit pour indiquer qu'il était temps de recouvrir les feux d'un couvercle de fonte pour éviter tout incendie (cette tradition subsiste dans quelques rares villes en France, notamment à Strasbourg et Pont-Audemer).

     

    "Depuis, le terme a dévié puisque le couvre-feu est une interdiction à la population de circuler dans la rue durant une certaine période de la journée, qui est généralement le soir et tôt le matin. Elle est ordonnée par le gouvernement ou tout responsable d'un pays, d'une région ou d'une ville.

    Cette mesure est souvent décrétée lors de la déclaration de la loi martiale ou de l'état de siège, mais peut aussi être utilisé en temps de paix. Le couvre-feu peut se limiter aux mineurs (États-Unis, Anti-Social Behaviour Act de 2004 en Grande-Bretagne, etc.).

     

    Son but est de permettre aux forces de l'ordre, civile ou militaire, de mieux assurer la sécurité de la zone sous couvre-feu ou de limiter la libre circulation d'une certaine catégorie de personnes, comme les femmes ou les mineurs"

     

    "L’origine du mot ? Elle est assez simple à comprendre."

     

    "Le mot est ancien, et si d’abord il ne désigne qu’un ustensile pour couvrir et conserver du feu sans qu’il s’éteigne, dès le Moyen-âge, il prend un sens figuré : il s’agit de couvrir les feux, c’est-à-dire d’éteindre ou de masquer, de cacher les sources de lumière. Le couvre-feu, c’est donc l’heure de l’extinction des feux. Et, bien vite, le mot va désigner le signal qui avertit qu’on éteigne : c’est une cloche particulière, sonnée de façon particulière. On sait que, du glas au tocsin, les sonneries de cloches avaient de multiples usages au Moyen-âge, pour faire passer des messages à la population : une multitude de codes étaient connus de tous. On dit, donc, à l’époque « sonner le couvre-feu ». Une pratique qui se généralise en temps de guerre, aussi bien en France qu’en Angleterre, à partir du XI ème siècle. Il semble même que cette pratique ait été un temps confondue avec celle de l’angélus, la cloche qui appelle à la prière du soir, et symbolise la tombée du jour."

     

    "Il s’agit, donc, d’une sorte d’opération ville morte : pas de lumière… et, par extension, pas de promeneurs…"

     

    "C’est ce dernier sens qu’a pris l’expression abandonnant d’ailleurs, le premier. A tel point que pour désigner l’obscurité commandée à toute une ville, on va user d’une autre expression : le « black out ». Expression anglaise qui signifie à peu près « noir complet », et qui date de la dernière Guerre mondiale. C’était un ordre de la défense passive de calfeutrer toutes les fenêtres, pour ne laisser sourdre aucune lumière. Et cette mesure a d’abord été prise à Londres à une époque où elle essuyait presque toutes les nuits les bombardements allemands. Ville invisible, elle donnait moins de prise aux bombes de l’ennemi."

     

    "Une bizarrerie à signaler : le couvre-feu va, au XIX ème siècle, signifier également l’heure de l’allumage des réverbères, quand cette pratique était manuelle. Ce qui est tout à fait étrange, puisqu’à ce moment, le couvre-feu signifie, non pas qu’on éteint, mais qu’on allume… Mais c’est l’heure à laquelle il faut allumer si l’on veut encore y voir."

     

    Intéressant n'est-il pas ?

    Définitions trouvées dans différents dictionnaires..

    d'où certaines répétitions que vous voudrez bien excuser ...

     

    Extinction des feux !

     

    sourire ...

     


     

    L'on couvre le feu?

    Les lumières s'éteignent, laissant place à ...

    A quoi d'ailleurs ?

     


     


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    Le lendemain n'est garanti à personne...

    Publié :9/3/2011

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    Comme l'a dit G.G. Marquez...

     

    Le monde va mal, les gens se déchirent pour des causes politicardes... stériles.

     

    Dialogues de sourds, violence des mots, surdité totale face à l'autre, aux autres...

     

    Des gens pris en otage, que l'on oublie,

    des femmes battues de part le monde,

    femmes à qui l'on dénie le droit d'être "un être humain" à part entiere, enfants battus, misère grandissante dans les pays dits "développés" ...

     

    Mais,.....

    la faucheuse n'en continue pas moins son travail...

     

    Le lendemain n'est garanti à personne,

    et mon regard se voile des brumes du chagrin....

     

    L'humilité ne fait pas ou plus partie du langage;

    désuet disent certains, faiblesse disent d'autres,

    mais, face à la mort... nous sommes tous égaux ...

     

    Eloquence du silence .... d'un regard tristement voilé...

    24 / 1 1 / 2 0 1 0 … 17 : 5 7

     

     


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    Si l'on vient te dire que quelqu'un a mal parlé de toi réponds : "Il faut qu'il ignore tous mes autres défauts, pour ne parler que de ceux qui lui sont connus."

     

    Epictète

     

     

     

    Pour rebondir, et éventuellement…. Devancer les propos de « ce quelqu’un » quel qu’il soit… (sourire) … qui pourrait (éventuellement) me dire …

     

     

     

     

     

    XXII. Nous écrivons de belles maximes ; mais en sommes-nous bien pénétrés, et les mettons-nous en pratique ? Et ce qu'on disait des Lacédémoniens, qu'ils étaient des lions chez eux et des singes à Ephèse, ne convient-il pas à la plupart de nous autres philosophes ? Nous sommes des lions dans notre auditoire, et des singes dans le public.

     

    Epictète ,Entretiens, livre IV, XXII,

     

     

     

    A cela je pourrais rétorquer «  Eloquence du silence… Regards »  (pour qui se souvient du PasseurdesAmes !  (sourire)

     

    Sois le plus souvent silencieux, ne dis que ce qui est nécessaire et en peu de mots.

     

    Epictète

     

     

     

    Comme je l’ai dit récemment dans « Si.. m’était conté… », j’ai traversé le Styx ou l’Achéron, comme il vous siéra…. Emportée dans les tourbillons des « Enfers » qui m’ont laissée pantelante, sans forces sur leurs rivages. Les souffrances du quotidien vous font prendre conscience que rien, jamais n’est acquis et celui ou celle qui le croit est bien sot !  Lorsque vous prenez conscience de ce qui vous arrive … le monde vacille, et un gouffre s’ouvre sous vos pieds et c’est là que vous apercevez les tourbillons du Styx…. Tant votre conscient est comme paralysé, tétanisé, sans énergie aucune ! Un choix s’offrait à moi, non deux choix… Dans un premier temps j’ai fait le choix 2 quand il fallait donner la priorité au 1…

     

     

     

    Ne sais-tu pas que la source de toutes les misères de l'homme, ce n'est pas la mort, mais la crainte de la mort ?

     

    Epictète

     

     

     

    Et c’est à cela que je voulais arriver… Ce Regard » dont j’aime à parler, le Regard des autres…

     

    Et « les silences »…  ces silences si « criants » dans ces regards…………

     

    Les « distances » qui se veulent involontaires… La Peste, je dois avoir la peste !!

     

    Un troisième combat, celui du parti de l’humour, de la dérision, et mon bouclier de mes émotions a repris sa place en force « le sourire » ! Tout cela pour ne pas être rejetée par «certains,nes ! « 

     

    (oui, j’ai été stupide, naîve, je sais…), j’y ai laissé une partie de mon âme !

     

    Désillusion au plus fort de mes combats, souffrance, croire en l’espoir quand le désespoir vous étreint… Pas simple que tout cela, ce combat pour la vie, pour remarcher, et le plus illusoire, le plus vain, combat contre les « peurs d’autrui »…

     

    Le positif dans tout cela ?

     

    Apprendre ses limites, se découvrir au fil des jours  guerrière, apprendre de sa naïveté, à mieux « entendre » encore, à écouter ce brouhaha d’émotions qui vous entourent et faire la part du bon grain de l’ivraie !

     

    Apprendre que les larmes sont inépuisables, si l’on y prend garde…

     

    Apprendre à gérer ses angoisses, ses craintes, ses peurs… seule, car vous croyez que.. et en finalité… le dresseur de mulots … (sourire) !Alors, oui… Le combat continue ! J’ai gagné des batailles, et demain est toujours un autre jour !

     

     

     

    « Si…. M’était conté … » est cet exutoire à mes « silences » depuis trop longtemps posés !

     

     

     

    Lorsque je parle de « l’humanité », je ne puis m’empêcher de sourire tant ce mots a perdu de beaucoup de son sens !

     

    Mes combats m’autorisent-ils à « Dire » sans… « Médire » (sourire) quand ce n’est qu’un vécu, une observation au quotidien, des ressentis, des souffrances ? Oui !

     

    Car sans des amis précieux, qui se reconnaîtront, bien souvent je me serais laissée aller à lâcher prise … Ils me donnent ce goût de croire encore à « l’humanité »

     

     

     

    Et je conclurai par ces mots…

     

     Il arrive dans le malheur un instant où, épuisé, accablé, ayant perdu tout espoir, on s'abandonne en quelque sorte soi-même, et, par une bizarrerie de la nature, c'est souvent alors que le cœur et l'esprit, soulagés de la foule de sensations qui les agitaient, laissent voir tout à coup ce qu'on aurait dû faire, et ce qu'il reste encore à faire. 

     

    Citation de Constance de Théis ; Les pensées diverses (1835)

     

     

     

    A l’impossible nul n’est tenu !

     

    Cela je le sais !

     

     

     

    Sourire !

     


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  • De ces liens qui vous emprisonnent ...


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  • Nostalgie de rêveries...


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